Les agences chargées de la surveillance des frontières européennes font débat dans les médias. En Pologne, en Grèce et dans les Balkans, elles empêchent des milliers de réfugié-e-s d’avancer sur le sol européen. Elles se servent de technologies avancées de contrôle et bloquent les distributions de vivres. L’Europe les observe. Est-ce une politique d’asile accomplie ? Par Katrin Wien
Seulement 4% des jeunes entre 14 et 29 ans savent ce qui s’est passé dans la nuit du 9 novembre 1938. À l’école, on ne leur en parle pas avant le collège. Et après ? Les journaux mais aussi les réseaux sociaux se sont établis comme sources d’informations populaires. Les jeunes les plus engagé-e-s participent activement aux commémorations. Malgré tout cela, la nuit des Pogromes semble tomber dans l’oubli. Face à l’antisémitisme omniprésent de nos jours, il est pourtant important de se remémorer ce qui est arrivé. Par Antonia Aturcanitei
Le commandant Theodor Leutwein, ou bien l’anthropologue Alexander Ecker : Ces deux noms rappellent l’héritage douloureux de l’ancienne colonie d’Afrique allemande du Sud-Ouest. Les traces des faits d’armes et l’idéologie raciste de Leutwein et Ecker demeurent visibles dans la ville en Forêt-Noire. Reportage dans un cimetière, un musée et à l’université de Fribourg, sur les trace du génocide namibien. Par Cyprien Durand Morel